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 Sa triste sentence (nouvelle à chute)

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Valwarrior

Valwarrior


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MessageSujet: Sa triste sentence (nouvelle à chute)   Sa triste sentence (nouvelle à chute) Icon_minitimeMer 26 Nov - 23:07

Voilà j'ai écris une nouvelle à chute de 3 pages sur Open Office c'est superficiel mais voilà j'en profite pour la mettre dans ce forum fait exprès ^^

Sa triste sentence

Tout se passa pendant une nuit lugubre, les hiboux chantonnaient et les oiseaux hululaient...
J'imagine que dans chaque nouvelle on présente les personnages j'imagine ? Hum...
Alors tout d'abord, une division d'infanterie, très exactement la 273, celle après la 272 donc.
Dans cette division d'infanterie, où de tristes decès et autres boucheries sanguinaires s'étaient produits, seul 5 personnes avaient survéccu :

-Maximilien, personne très chère aux yeux de certains et surement pour cause : sa gentillesse, sa générosité exemplaire et son charisme époustouflant. Il était apprécié de tout le monde mis à part d'une douzaine de salopard étant mort durant cet assaut antérieur...

-Ivan, un jeune soldat venu par obligation, certes, mais également par générosité, comme toujours, venu pour aider ses amis (enfin je l'espère ^^)
Etant arrivé tard dans cette Grande Guerre, il ne connaissait presque personne sauf ses amis comme Maximilien ou autres personne cités ensuite.

-Marc, une personne toujours très pacifique mais également généreux comme tout ceux que j'énumère, Dieu aurait-t-il un lien avec la survie de ces personnes ? Là est la question...

-Thomas, lui à son tour, moins pacifique, rageux mais gentil et surtout généreux avec les personnes qu'il connaît et qu'il apprécie...

Je répète généreux mais pas pour longtemps...

-Valentin, cette personne, c'est moi, drôle, optimiste et amusant, tel un bouffon royal sans ce titre, mais également infantile, hypocrite et radin certaines fois. Je peux être à la fois attanchant pour certains et trop cru pour les autres...
Là est sans doute mon originalité.

Cette nuit, j'ai peur, j'ai froid, j'ai l'impression que mes doigts et ceux des pieds sont congelés et chaque pas m'est difficile, je redoute que l'on m'empute... cette angoisse m'empèche de dormir, et celle-ci également : celle de ne pas me réveiller...

La vie est trop bête pour qu'on ne puisse pas y goûter la Chaire, l'amitié, l'amour, le divorce...
Je repense à toutes ces amitiés perdu en quittant ma terre promise. Ce départ fut comme si on arrachaît la terre Sainte aux musulmans, bien que je ne le sois pas...

Le jour où l'on m'a dit que je devais partir pour la guerre, un grand frisson me parcourait tel une personne foudrayé... sauf que moi, je vivais encore...
La peine je ne la dois pas à moi même, mais à celle de mes amies et de ma famille, mon unique entourage. Des amies très chère comme Emilie, la soeur d'Ivan le Terrible ! Claire une amie de longue date mais encore d'autres personnes dont vous ne vous souciez point... Oui ! Mes amies car tout ceux qui étaient des amis pour moi, sont soient mort pendant cet assaut sanguinaire, ou sont encore avec moi.
Certaines minutes, je me demande : Que fais-je ici ? Vais-je mourir ? Là est également la question...

Je redoute le moment où notre Chuck Norris de la guerre nous demande de partir à l'assaut de la tranchée adverse...
«  Ils sont armés jusuqu'aux dents chef ! » Nous lui répétions d'un ton monotone et désespérant...
Il nous raconte des inépties médiatiques et autres conneries ambulantes pour nous remonter le moral, mais en vain.
Enfin pour ma part, j'espère que les autres y croient... Et si c'est le cas je préfère leur faire croire ses conneries plutôt que leur dire la triste vérité... je resterais leur ami judqu'à la fin...

Cependant cette nuit n'était pas comme les autres... Elle était trop calme, cette fois-ci, comme vous pouvez l'imaginer, une chose lugubre et magique à la fois se produit...

Nous avons vu des calibres 420 cracher plusieurs centaines de millier d'obus qui nous tombâmes dessus. Vous ne pouvez pas vous imaginer quelle frayeur s'est produite dans notre corps... Nous avons failli à plusieurs reprises nous faire ensevelir vivant ! Notre coeur s'était arrêter de battre, les vibrations des obus étaient tel, que nous ne sentions plus battre notre coeur, « s'était-il vraiment stoppé ? »
« Pourquoi sur nous ? » Sommes nous nous répéter en essayant de survivre...
Essayez de vous imaginer des 420 vous tirer dessus. Non ne vous imaginez pas, c'est mieux pour vous...

Tout d'un coup après plusieurs minutes aussi longue que des heures, plus rien, j'ai d'abord cru que j'étais mort et pourtant après avoir repris mes esprits je me suis rendu compte que j'étais seul dans la tranchée ! J'ai paniqué et me suis réfugié dans un trou à rat creusé au préalable par nous en cas de problème comme celui-ci...

Je regardais la lune, pleine lune ! Si ronde et si belle avec ses cratères. Je la contemplais insousciant de se qu'il allait se passer...

Soudain ! Un Flashback s'illuminait devant mes yeux imprénié de sang ou de pleurs,question qui m'iportais... Le moment où ma mère venait de m'acheter mon premier jouet : Un fer à cheval en plastique ! J'étais ébahis devant cette merveille et y jouait tout le temps, je l'emmenais partout, et j'y ai surtout joué pendant la tempète de 1899... Terrible tempête qui ravaigait tout sur son passage.Une terrible catastrophe... Le rapprochement entre cette guerre d'Humains et de la nature était tristement lié.

Soudain j'entendis une balle sortir du canon d'un fusil de calibre 12mm... Et un cri sortit de la bouche et de la plaie de se blessé. Je reconnu la voix de notre chef, notre doyen, notre patriarche, notre Abraham.

Inconscient encore du danger, je m'aventurais dans les tranchées ou plutôt trous d'obus qui vanaient de tomber... Je tombai sur un couloir de la mort et trouvais entasser des dizaines de morts, dont Chuck Norris et Thomas...

Je n'eu même pas envie de pleurer je riais, allez cherchez pourquoi.
J'entendis alors Marc crier et demander de l'aide, j'accouru et me vit en face d'un allemand baïllonette au canon qui allait tirer sur Marc, je pris mon fusil de 2M10 de haut et l'embrochait tel un Gardon sortant d'un lac. Il eut malheureusement le temps de tirer une balle, se qui coucha Marc par terre et le tua sur le coup : touché au coeur...J'essayai de le réanimer, en vain...

Je parti et cherchait de l'aide. Je criais : « Max ! T'es où ?! »
Il me répondit au bout de 5min de peur et de colère ! Il était là avec Ivan devant moi gisant dans le sol... Il s'était caché avec Ivan, plutôt petit gabari dans un trou à rat et à l'intérieur une douille de 520 : La Grosse Bertha ! Elle avait tiré sans succès, son obu n'avait pas explosé...
Cet obu pouvait exploser à tout moment, il fallait donc sortir et quitter nos tranchées et rejoindre les allemandes, celles d'en face, ou alors se replier et trouver la mort dans les notres, en se faisant exécuter...
En courrant, nous n'avions pas peur, enfin sur le moment, depuis le temps que la peur était dans notre ventre, nous la connaissions et avions suent la matter.
Nous prîment nos fusils et courru comme des dératés dans les premiers trous d'obus disponibles nous servant de cachettes.
Nous ayant vu, les allemands pensèrent que cette ridicule vague était un assaut, leur artillerie commençait à tirer sur nos positions et étions mort, d'inquiétude cette fois, pour notre vie, notre destin, et je vis dans les yeux de mes deux camarades de la tristesse, pas celle de la mort, mais celle des autres, ceux qui allaient nous remplacer si nous mourrions au champ de bataille, Qui aurait le chance de voir ses amis mourir, qui ?
Alors pour « nous remontrer le moral », nous courrions en criant des prières, car durant cette guerre la foi était notre seule espoir de survivre, et de nous faire tenir debout...

Nous arrivâmes dans le No Man's Land, endroit où gisait des centaines de cadavres mort ou non...en train d'agoniser ou non...
Des mines, nous sentions sous nos pieds, mais elles explosaient après, sauf une : Une explosa sous le pied d'Ivan, il fut déchiqueté et sa mort ne le fit pas souffrir, d'après moi...
Un bras et un morceau de sa tête tombèrent sous nos pieds ce qui nous fit tomber dans un trou hors du No Man's Land, Les tirs s'arrétèrent, peut-être croyaient-t-ils que nous étions mort ?

Nous décidâmes, alors d'avancer allongés et de se réfugier dans l'angle de leur tranchée, nous prîmes leurs uniformes et nous cachâmes dans les boyaux adverses. Dans tout les sens du terme...

Parlant allemand grâce à la guerre, j'avais pu nous sortir de pas mal de pétrains et la nuit avançait ou reculait... Selon les esprits de chacun.

Nous voyâmes arriver vers 2H du matin les renforts tant attendu de Chuck Norris... Ils pillonèrent de tir et d'obus nos positions, ou plutôt celles des allemands.
Les gouverneurs allemand qui étaient les nôtre à ce moment là nous demandèrent de lancer un assaut en contre du leur et donc de provoquer un choc frontal ! Ce qui fit, je vous l'accorde un véritable carnage... La guerre en est un. La vie également.
Nous nous lancâmes à l'assaut de nos propres positions avec les allemands à nos côté, le comble... Nous voyions des corps de tous côtés mourir, crier, saigner. Des pièces d'artilleries, les nôtres nous pilonnaient comme celles des allemands.

Max arriva avant moi sur le No Man's Land en contact avec les Français, il voulait leur dire qu'on était avec eux ! Enfin il le pensait...
Une balle de calibre 15mm lui perfora la tête : un Sniper très habile venait de lui donner la paix éternelle...
Je fus consterné, les allemands me poussaient m'écrasaient, et UN, Allemand Humain me releva amicalement et me demanda de le suivre, nous étions cachés. Je lui expliquai tout et je lui demandai de me tuer, et de me donner la joie d'en finir avec mes souffrances psychologiques. Il refusa ! Quand brusquement un obus lui tomba dessus et une marre de sang me gicla sur la tête...
Je criais dégoûté et apeuré en d'une langue étrangère aux allemands, ce fut cette faute...
une balle de Sniper venait de me percuter la jambe et me fit tomber. J'agonisais terriblement !
Un français me fit revenir dans la tranchée pour me soigner, il était 3H du matin...

Les cris se comptaient, mais pas les morts... Je m'allumais une cigarette que je mis dans ma bouche, je tira une dernière fois sur une fusil long de 10cm et n'entendis plus rien et ne vu plus rien pendant 0,5 seconde... La mort m'était devenu familière...

Pourtant, la mort m'importe ce qui m'embêtai le plus :
C'est de devoir recommencer mon jeu... =)


Bonne lecture ^^
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